Parfois, certaines maladies peuvent apparaître durant l’allaitement, à savoir la grippe, le rhume, la fièvre… surtout si les anticorps sont insuffisants. L’allaitement est souvent stoppé pour éviter de contaminer bébé. En effet, il est toujours recommandé de consulter l’avis d’un médecin pour préserver la santé de bébé. Cet article vous éclaire davantage sur ce sujet.
Dans quel cas l’allaitement doit-il être stoppé ?
L’arrêt soudain de l’allaitement se fait rare en fonction de la maladie contractée. Dans le cas d’une fièvre, la prise de paracétamol est autorisée, mais le médecin pourrait vous recommander de ne pas allaiter jusqu’à ce que la cause de la fièvre soit identifiée. Si la mère est atteinte de la varicelle quelques jours après l’accouchement, vous n’avez pas la possibilité d’allaiter ni de vous mettre en contact direct avec le bébé. Dans le cas d’un VIH Sida, d’une leucémie, d’une infection urinaire, d’une infection à l’Ebola et d’un cancer, l’allaitement sera impérativement stoppé.
Que faire en cas de maladie ?
Les médecins prescrivent toujours des médicaments adaptés à l’allaitement. Vous n’avez donc aucune raison de vous inquiéter concernant la qualité du lait produit à la fin du traitement. Il est important de respecter une bonne hygiène avant de prendre votre bébé dans vos bras. Pensez à vous laver les mains fréquemment, même si la maladie n’est pas contagieuse. Evitez aussi de recourir aux huiles essentielles, car ces derniers ne sont pas adaptés à l’allaitement.